COLLECTIONS

Envie d’en savoir plus sur les collections du musée ?

ARCHÉOLOGIE

𝑩𝒊𝒆𝒏𝒗𝒆𝒏𝒖𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒔𝒂𝒍𝒍𝒆 𝒅’𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒆 𝒅𝒖 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝑩𝒍𝒂𝒊𝒏 !

La salle Gallo-Romaine était autrefois la salle des mariages de la mairie de Blain. C’est pour cela qu’il y à une Marianne au dessus de la vitrine près de la fenêtre. Dans cette pièce, vous pourrez observer tous les vestiges Gallo-Romain trouvés à Blain et ses alentours. Un don d’Annick Revelière, petite fille de Jules Revelière, un archéologue Blinois, nous à permis de constituer cette salle.


Il faut savoir que la ville, à l’époque, fût un gros bourg commercial et un carrefour de dix voies romaines. On peut supposer que c’est certainement grâce à ce carrefour que Blain est actuellement bien centré.

La salle d’archéologie du musée dispose de plusieurs pièces remarquables comme le vase de Décébale ou encore un très beau vase antique. Plusieurs vitrines vont vous présentez des fragments retrouver lors des fouilles blinoises. Une belle façon de mettre en avant le fait que Blain fut aussi, une ville antique.

FÈVES DES ROIS

𝑳𝒆 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝑩𝒍𝒂𝒊𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒔𝒆̀𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒇𝒆̀𝒗𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 !

A l’origine, la collection a commencé en 1990 par une exposition temporaire. Seulement 200 fèves étaient présentées dans la boutique de la boulangerie au second étage. Actuellement le musée présente plus de 10 000 fèves des rois.
En 2008, Nicole France Riffet une parisienne de 86 ans a fait don au musée de Blain de toute sa collection de fèves anciennes. Cela représente environ 2 033 fèves estimée à 150 000 €. Un véritable trésor pour les fabophiles (nom du collectionneur de fèves).

Afin de renouveler leurs collections de fèves chaque année, les fabricants suivent l’actualité. Vous pourrez donc admirer des fèves de la Vème république ou encore des fèves 100% blinoises.

CRÈCHES DE NOËL

𝑳𝒆 𝑴𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑻𝒓𝒂𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒑𝒐𝒑𝒖𝒍𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒏𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒐𝒖𝒃𝒍𝒊𝒆𝒓 𝒍𝒂 𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒐𝒅𝒆 𝒅𝒆 𝑵𝒐𝒆̈𝒍 !

Le musée de Blain dispose d’une importante collection de crèches. Certaines proviennent d’ambassades, d’abbayes, de couvents ou encore de missionnaires. Les crèches sont répartis sur deux salles. Chacune est unique. Il en existe en peau de lapin, en épingle, ou encore en papier mâché. Vous pouvez également admirer la plus petite crèche du monde. Elle a été réalisée sur un clou. Le travail fut tellement minutieux que la crèche a été mise en vitrine afin de ne pas l’abimer.

PLACE 1900

𝑳𝒆 𝒅𝒆𝒖𝒙𝒊𝒆̀𝒎𝒆 𝒆́𝒕𝒂𝒈𝒆 𝒅𝒖 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒆𝒔𝒕 𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆́ 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒆 𝒂𝒖 𝒅𝒆́𝒃𝒖𝒕 𝒅𝒖 𝑿𝑿𝒆̀𝒎𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆.

En déambulant parmi les reconstitutions, vous pourrez observer une épicerie, un bistrot, un bureau de tabac, une boucherie ou encore une poste.L’occasion pour vous de découvrir que certaines choses reviennent au gout du jour, comme le fait de vendre des aliments en vrac par exemple. En regardant de plus près, vous pourrez observer des journaux chez le marchand de tabac. Vous pourrez un exemplaire du journal 𝑳𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 fêtant la fin de la seconde guerre mondiale.

Observer la reconstitution d’une école. A vous les pupitres, l’encrier ou encore le bonnet d’âne. Cette salle de classe représente une part importante de la vie au début du siècle dernier. Élément majeur de la vie des enfants, cette reconstitution permet de se plonger dans une vie loin des téléphones, des stylos billes ou encore de l’effaceur. Place au papier buvard pour corriger les fautes d’inattention !

Le sabotier de Blain était une véritable institution. En effet, les sabots étaient d’origine 100% blinois, avec un bois provenant directement de la forêt du Gâvre. Avant l’industrialisation de ce métier, les sabots étaient entièrement faits à la main. Pour accentuer le confort de ces chaussures de bois, de la paille étaient régulièrement mis dans les sabots afin de les rendre plus 𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒃𝒍𝒆 au quotidien.
Il est encore possible de voir des fabricants de sabot dans la région, même si le processus de fabrication a été totalement industrialisés et que les chaussures ont gagnés en confort.

Le musée dispose également d’une grande quantité de vêtements d’époque. Les 𝙗𝙚𝙖𝙪𝙭 𝙝𝙖𝙗𝙞𝙩𝙨 étaient principalement religieux : naissance, baptême, communion, mariage ou sépulture. Petite subtilité, les mariées étaient habillées de noir ! Cette tradition va perdurer jusque dans les années 1920, où le blanc devient la couleur de prédilection des robes de mariages.